Communiqué
J’attire l’attention des électeurs de la première circonscription de la Loire-Atlantique sur la réalité de ce qui s’est passé durant le débat parlementaire sur les retraites.
Mounir Belhamiti, député de cette circonscription, a annoncé soutenir la réforme au motif d’une nécessaire relance de notre économie. La réalité, c’est qu’il est incapable de répondre à la question des 1 200 euros mensuels de retraite, affirmant d’abord qu’il s’agissait là d’un minimum, avant de revenir dessus. Je l’ai alerté à plusieurs reprises par courriel, lui demandant de maintenir sa position initiale d’un minima retraite à 1 200 euros, en écoutant réellement les habitants de la circonscription. Mais il n’y a aucune communication, aucun débat. Mes demandes sont restées lettre morte. La Macronie fuit le débat.
Pour rappel, le groupe RN à l’Assemblée nationale a déposé une motion référendaire destinée à stopper cette réforme des retraites ainsi qu’une motion de censure. Face à cela, les amis du socialiste Karim Benbrahim (compétiteur malheureux de Mounir Belhamiti) ont préféré les magouilles d’appareil et le sectarisme de la gauchie NUPES. Ils ne défendent pas les Français. Les actuels députés de la NUPES sont dans l’hypocrisie : ils ont appelé à voter Emmanuel Macron. Ils ne sont pas l’opposition du macronisme, mais son corollaire.
L’attitude sectaire et puérile de la NUPES, caractérisée par l’obstruction parlementaire, n’a pas permis de défendre les droits sociaux des Français, en rejetant l’âge de départ à 64 ans. La réalité, c’est que seuls les députés du RN défendent le pouvoir d’achat et les conditions sociales des travailleurs.
Non, résolument, ni monsieur Belhamiti, ni monsieur Benbrahim, ne défendent nos retraites. Face à cela, je serai à vos côtés contre cette injustice sociale fomentée main dans la main par la NUPES et Macron.
