Le 10-Septembre aurait pu rester un mouvement de pacifique et légitime exaspération, mais l’extrême gauche radicale n’a de cesse, en France et particulièrement à Nantes, de pourrir tous les mouvements sociaux. Et pourtant, les revendications sociales étaient légitimes, après huit années de politique ultralibérale macroniste.

Aujourd’hui, les gauches nantaises, alliées de fait à des groupuscules antifas, véritables factieux adeptes du chaos, ont transformé le centre de Nantes et certains points stratégiques de l’agglomération nantaise en véritable zones de guérilla : des zones d’affrontements entre nervis et forces de l’ordre. Ce fut encore le cas cet après-midi à proximité de l’Hôtel de préfecture de la Loire-Atlantique. Ces scènes d’une trop souvent habituelle violence ont heurté beaucoup de Nantaises et de Nantais, nous assistons péniblement à ces mêmes scènes de chaos de juin dernier à l’occasion de la victoire du Paris-Saint-Germain (PSG). Encore une fois, rien n’a été anticipé, rien n’a été fait. Les dégradations de mobilier urbain ne seront pas condamnées, la Ville de Nantes ne portera pas plainte : pire que de la lâcheté, on attise le chaos.

Comment se fait-il qu’à Nantes, un mouvement social ne puisse pas légalement se tenir sans agitation ultraviolente, ni chaos ? Sûrement parce qu’elle est une ville « humaniste » rétorquera la maire de Nantes. Nous dirions surtout pour notre part, parce que ses élus prétendument républicains pactisent avec ces groupuscules qui troublent l’ordre public. C’est le cas d’Andy Kerbrat, député de la France insoumise (LFI) et de ses alliés au conseil municipal; qui ont massivement appelé à ces violences. Au Rassemblement national (RN), notre ligne est claire : les adeptes du chaos doivent sévèrement sanctionnés. Nous apportons notre soutien total aux forces de l’ordre.