Bis repetita, ces derniers jours, l’Université de Nantes a pris la décision une nouvelle fois de fermer le campus du Tertre, privant ainsi les près de dix-sept mille étudiants de cours. La raison est que des barrières et poubelles ont été installées devant les portes des facultés par des racailles d’extrême gauche.
C’était déjà le même scénario chaotique, le 23 septembre dernier lorsque des véritables miliciens encagoulés avaient sauvagement dégradé le pôle étudiant du campus Tertre et privé par la radicalité les étudiants d’étudier, obligeant les Compagnies républicaines de sécurité (CRS) à intervenir. Durant cette semaine, des tags et des appels à la violence contre des enseignants, des forces de l’ordre et les étudiants courageux de l’Union nationale inter-universitaire (UNI) se sont multipliés, transformant une fois de plus ce lieu de l’émancipation intellectuelle en une succursale de la haine et de la violence.
Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique condamne l’organisation de ces pseudo-assemblées générales, véritables courroies de transmission de l’extrême gauche violente et appelle à la dissolution des groupuscules antifas. L’ordre doit revenir, les étudiants doivent pouvoir étudier sereinement et les propagateurs de haine doivent être condamnés, le RN apporte son soutien aux étudiants et aux policiers agressés.