On en est là aujourd’hui dans la métropole nantaise : Le journal Le Monde rapporte dans son édition du 22 août que la Police nationale est dorénavant obligée de mettre en garde contre le risque de guet-apens envers les personnes homosexuelles. Ainsi, il y a trois semaines, un homme a été attaqué à coups de marteau dans un parc de Rezé dans ce type de circonstances. Et une nouvelle attaque a été signalée le 20 août dans un parc à Nantes.
C’est la conséquence d’une homophobie débridée, diront certains. Mais nous ne pouvons nous contenter de mots creux. Car quand on importe massivement des migrants en provenance de pays pour lesquels la Charia autorise de lapider ou de torturer des homosexuels, il ne faut pas s’étonner de voir de pareils actes se reproduire ici.
C’est là le vrai combat contre l’homophobie, il ne sert à rien d’imposer un pseudo-budget genré, le principe d’une ville non sexiste ou de financer des opérations-spectacle comme la pavoisement arc-en-ciel des bâtiments publics si on ne règle pas le problème à sa source. De ce point de vue, ceux qui parlent d’homophobie sans jamais évoquer la submersion migratoire que subit notre pays ne sont en réalité que les complices de la montée de l’homophobie.
Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique apporte son soutien entier aux victimes d’actes homophobes et les invite à porter plainte pour que de pareils actes ne soient pas impunis ou proscrits. En responsabilité, nous ne laisserons pas une sorte de loi islamique importée, et son homophobie latente, faire la Loi dans nos quartiers.
Bryan Pecqueur
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