La Nuit du Bien commun se tiendra ce soir à Nantes. Aujourd’hui, comme à Tours hier, cette organisation caritative, est victime des agissements criminels de l’ultra-gauche. Hier, elle menaçait de mort Pierre-Édouard Stérin, aujourd’hui les manifestants radicaux de Nantes revendiquent de « faire de Stérin, le prochain », comprenons là, la prochaine victime de leur barbarie organisée. Sur les visuels gauchistes diffusés ces derniers jours figure ainsi l’expression Smash the fash (« défoncer les fachos »), un appel à la violence contre des prétendus adversaires politiques, Dans le même ordre d’idée, Contre-attaque, groupuscule gauchiste et fascisant tristement célèbre à Nantes, déambule ces derniers jours avec une banderole enflammée : « Non à la Nuit du Bien commun » et publie un communiqué se vantant d’un « événement réussi contre Stérin et son monde ». Ça suffit ce fascisme culturel ! Ce n’est pas à l’extrême gauche sectaire et haineuse de décider ce qui relève de la vie associative ou non.

Nous déplorons encore une fois la complaisance de la quasi-majorité des élus locaux avec ces milices organisées. Il y a quelques jours, Johanna Rolland, la maire de Nantes, fantasmant un risque de diffusion de l’extrême droite, cosignait une tribune contre Pierre-Édouard Stérin. Aujourd’hui, elle n’a eu aucun mot pour dénoncer les menaces de mort et les appels à la violence. Le seul et unique risque ce soir, c’est le défouloir d’une gauche radicale habituée à la haine et à la violence. Au vu des menaces sérieuses, le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique demande donc qu’une sécurité maximale soit mis en place pour assurer la pleine tranquillité de cet événement.

Ces appels à la violence organisée assumés par ces groupuscules haineux et véritablement fascistes sont une énième preuve de leur radicalité et de leur incompatibilité avec la République. Nous demandons officiellement leur dissolution et en particulier, celle du collectif Contre-attaque, qui subvertit constamment l’ordre public par ses contre-manifestations. Les Nantais aspirent au calme et ne veulent pas revoir ces scènes d’émeutes urbaines de samedi dernier : aux pouvoirs publics de maintenir l’ordre.

Bryan Pecqueur

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