Après ces trente-cinq années qui ont peu à peu dégradé et étouffé l’une des plus belles villes de France, le bilan de la municipalité sortante est catastrophique. Au classement des villes agréables à vivre, Nantes n’a cessé de perdre du terrain .

Au premier plan se situe évidemment l’insécurité ; Nantes n’est plus une ville sûre, une ville où les nantais peuvent se promener sans crainte, où les nantaises peuvent rentrer seules chez elles en sécurité. Insécurité, immigration incontrôlée, trafic de drogue, insalubrité, c’est le premier point noir que nous devons effacer. Pour cela, nous le développerons plus avant dans notre projet il faut renforcer la police municipale, l’armer pour lui donner les moyens de son action, renforcer la surveillance vidéo, soutenir aussi la création rapide d’un centre de rétention administrative, un sujet qui illustre cruellement les errances de Johanna Rolland, et ses fluctuations pour des raisons purement électoralistes.

Nantes sous l’administration socialiste alliée aux écologistes, c’est aussi une ville où l’on ne peut plus circuler, une ville hostile aux habitants de la grande agglomération, une ville fermée alors qu’elle devrait être un pôle d’attraction régionale. Comment admettre que des personnes malades qui ont besoin de venir consulter ou se soigner soient obligées de se garer en périphérie et contraintes à prendre un vélo ou un transport en commun ? C’est tout simplement odieux et reflète cette gentrification Bobo qui plaît tant aux édiles socialistes, si éloignés, si coupés, du peuple français au fond. Et transformer un parking comme celui de la petite Hollande en prétendu espace vert relève de la même volonté d’exclusion. Encore heureux que grâce aux députés du RN les funestes projets de ZFE aient pu être écartés. Donc réintroduire de la mobilité et de la fluidité dans Nantes fait partie de mes priorités, tout comme permettre aux catégories populaires et aux classes moyennes de revenir habiter à Nantes.

Plus généralement, et j’assume aussi cette formulation, réintroduire de l‘harmonie et de la beauté dans la ville devient une urgence. La multiplication des chantiers dans toute la ville (évidemment tout sera fait pour que les palissades soient enlevées juste avant les élections), la dérive idéologique du « voyage à Nantes »

Comme toutes les municipalités socialistes, Nantes est mal gérée ; l’endettement ne cesse de s’alourdir, obérant les finances de la ville et faisant peser sur les nantais d’aujourd’hui et de demain un fardeau croissant. Tout cela pour des dépenses et un saupoudrage de subventions qu’il faudra passer à la paille de fer à notre arrivée à la mairie.

En conclusion, je veux dire combien mon ambition est de tourner la page du socialisme qui a fait tant de mal à la ville, et rendre celle-ci plus sûre, plus accueillante, plus harmonieuse et plus belle.

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