La situation à la résidence des Rochelets, dans le quartier de Bellevue, à Nantes, suscite une inquiétude croissante. Depuis l’installation, en 2021, de plusieurs familles issues de Roms dans six appartements, les conditions de vie de nombreux habitants se sont fortement dégradées. Incivilités, nuisances, insécurité : le quotidien de centaines de résidents est devenu un véritable calvaire.
Alertée par les plaintes répétées du conseil syndical de copropriété, une délégation du Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique s’est donc rendue sur place vendredi soir pour constater la réalité du terrain. Nous avons rencontré des membres du conseil syndical, ainsi que des résidents installés de longue date comme plus récemment. Tous expriment la même détresse : un climat délétère, une perte de confiance dans les institutions, et un profond sentiment d’abandon.
Certains habitants, désespérés, envisagent désormais de quitter leur logement, non par choix, mais contraints par un environnement devenu invivable. Cela n’est ni normal, ni tolérable dans une société qui se veut juste et protectrice. Pire encore, celles et ceux qui osent dénoncer cette situation sont parfois qualifiés de « racistes » ou de « fous », alors qu’ils ne demandent qu’une chose : vivre en paix. Cette inversion accusatoire est inacceptable. Et malgré la présence de caméras de vidéoprotection, les actes de dégradation continuent : menaces, violences, maltraitance, destructions de biens communs… Certaines entreprises de maintenance et de gardiennage refusent d’ailleurs d’intervenir dans la résidence, révélant l’ampleur du problème.
Face à cette situation, le RN de la Loire-Atlantique appelle à une action immédiate et déterminée de la part de l’État, de la Mairie de Nantes et des bailleurs sociaux. Il est temps de faire respecter l’ordre républicain, de protéger les familles honnêtes et de restaurer un climat de sécurité et de dignité. Les Nantais ont droit, eux aussi, à la tranquillité. Le RN se tient aux côtés des habitants des Rochelets, et continuera de porter leur voix : remettons Nantes en ordre.
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