En pleine période de vacances estivales, Johanna Rolland, mairie socialiste de Nantes décide de faire installer un camp de Roms à trente mètres de la Résidence des Gazons, dans le Vieux-Doulon. Comme trop souvent avec l’équipe municipale sortante, l’absence de concertation place les habitants dans des interrogations et des protestations légitimes. Ils craignent à juste titre pour leur tranquillité et leur sécurité. Car c’est l’habitude des socialistes que de transformer nos villes et ces espaces de vie en bidonvilles à ciel ouvert : et Nantes ne fait pas exception ! Cette décision scandalise, quand on connaît l’impact et les nuisances en termes de salubrité et d’insécurité que posent ces attroupements de manière générale et à Nantes, pas plus tard que ces dernières semaines.
La Mairie assume ce choix et annonce réfléchir à proposer de meilleures conditions de vie pour les habitants des bidonvilles, maintenir la scolarisation des enfants, tenir compte des contraintes urbaines et préserver l’ensemble des intérêts environnementaux. On aurait aimé que des tels efforts soient aussi déployés pour assurer la tranquillité publique des habitants, pas pour un camp de Roms. Johanna Rolland devra assumer devant les électeurs, en mars prochain, sa préférence étrangère et ses pratiques malhonnêtes et choquantes.
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