À Clisson, les écologistes veulent imposer leur idéologie jusqu’au cœur de nos fêtes populaires. Ainsi, à l’occasion du festival Clisson Vintage, consacré aux voitures anciennes et prévu en cette fin de semaine, certains élus de l’opposition municipale réclament qu’un bilan carbone soit imposé aux organisateurs.
Une fois de plus, Europe écologie-Les Verts (EE-LV), inspiré par des principes woke et décroissants, s’attaque à ce qui fait la richesse de notre patrimoine En effet, ce festival rassemble des passionnés, des familles, et valorise l’histoire de l’automobile française. Vouloir le restreindre ou l’alourdir de contraintes bureaucratiques, c’est nier nos traditions et décourager la vie associative locale.
Pendant que les écologistes traquent les collectionneurs de voitures anciennes – qu’ils emmerdent concrètement les Clissonnais – ils restent pourtant silencieux face à l’enlaidissement de nos villes et de nos campagnes, à la bétonisation anarchique et aux pollutions industrielles qu’ils ont longtemps accompagné au nom de leurs alliances à gauche, comme celle du chlordécone, tout comme aux méfaits qu’ils accompagnent toujours par leur soutien constant aux maires de gauche comme : ainsi, dans la région nantaise et tant de grandes villes, la métropolisation, la gentrification de quartiers entiers, les contradictions du zéro artificialisation net tout en construisant toujours plus, sans parler de l’insécurité et des trafics. Ce deux-poids-deux-mesures est insupportable : le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique affirme donc son soutien aux organisateurs de Clisson Vintage et refuse que des militants idéologues viennent imposer leurs diktats à des événements festifs et populaires.
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