Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique condamne fermement l’exclusion de l’Université de Nantes de la responsable de la section nantaise de l’Union nationale inter-universitaire (UNI), Alix Gandon, après sa dénonciation courageuse des dérives racistes de l’extrême gauche sur le campus.
Cette décision scandaleuse illustre une fois de plus le deux poids, deux mesures qui gangrène certaines institutions universitaires. À l’Université de Nantes, il semblerait que l’on puisse impunément proclamer des injures telles que « emmerder [les blancs] », ce qu’avait fait, en 2023, un membre de l’Union pirate – syndicat étudiant gauchiste – en prenant à partie mademoiselle Gandon. Il semble en revanche visiblement inenvisageable de s’élever contre ces discours haineux. Ce n’est pas normal et, de notre point de vue, porter cette affaire devant le Conseil d’État est nécessaire.
Face à ces attaques contre ceux qui osent dénoncer les dérives idéologiques de la gauche radicale, nous réaffirmons notre engagement pour une université libre, respectueuse et ouverte à la pluralité des idées. Le combat pour la vérité et la Justice ne doit jamais céder face à la pression des dogmes extrémistes. Nous appelons les Nantais à se mobiliser pour défendre la liberté d’expression et soutenir ceux qui, comme l’UNI, à l’Université, refusent l’intolérance de l’extrême gauche.
Gauthier Bouchet