Communiqué
Dans la nuit du 7 au 8 mars, les marches de la butte Sainte-Anne à Nantes ont été transformées en une fresque aux couleurs du drapeau palestinien, acte revendiqué sur les réseaux sociaux par la mouvance antifa Contre-attaque. Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique rappelle sa condamnation, déjà exprimée par voie de communiqué, face à cette initiative, qui constitue une provocation inacceptable et une manifestation de propagande en faveur d’une entité étrangère et à des actes terroristes. La décision de Johanna Rolland, maire de Nantes, rendue publique mercredi dernier, de ne pas intervenir pour faire retirer cette peinture, illustre une fois de plus son incapacité à défendre l’ordre républicain et à s’opposer à un extrémisme de gauche qui, d’ailleurs, trouve refuge au sein de sa majorité municipale.
Cette action est particulièrement choquante et irresponsable. Elle ne fait que renforcer la division au sein de notre société en important un conflit étranger sur notre territoire. Il est déplorable que la maire de Nantes choisisse de rester passive face à une telle situation, laissant ainsi libre cours à des expressions de soutien à des groupes tels que le Hamas, pourtant reconnu comme une organisation terroriste par l’Union européenne et de nombreux pays à travers le monde. Cette passivité met en lumière une tolérance inquiétante pour des actes qui, loin de promouvoir la paix, ne font qu’attiser les flammes de la haine et de l’intolérance, particulièrement à l’endroit de nos compatriotes juifs.
La maire de Nantes ne dit donc mot de ces marches de la honte… Le RN de la Loire-Atlantique appelle à une réaction ferme des pouvoirs publics locaux contre ce genre d’actes provocateurs. Il est pour nous impératif que la maire de Nantes prenne ses responsabilités, en condamnant sans équivoque ces agissements.
Gauthier Bouchet
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